Jeudi 7 septembre 2006 à 22:30

¤ Avis aux cavaliers montpellierains! ¤

Je commence la rentrée en fanfare avec un premier concours... quatre jours après le début des cours ! ! ! Et en plus c'est un concours complet! Héhé!

Donc le 17 septembre, au domaine de Lavérune, il y a un concours complet (cso/dressage/cross) auquel je participe, avec Lolotte, en épreuve E2.

Coup du destin, ou coup de pouce de Pierre David, j'ai à nouveau I Love You... Souvenez vous... Le même que l'an dernier [photo ci-dessus], mais avec qui ça s'était mal terminé (une chute sur le cross). Mais je ne suis pas le moins du monde découragée: au contraire, je compte prendre ma revanche et réussir cette fois-ci :D

Quant à Lolotte, elle a Neld'or, bizard vu que c'est un cheval de cso, on verra ce que ça donne... Mais il est bon à l'obstacle et en dress, et assez franc donc ça irra sûrement.

Voyons ce que l'avenir nous réserve...

MaX

Mardi 5 septembre 2006 à 19:21

Comme le remarque Jérôme Garcin dans son livre La chute de cheval, au fil des temps l'equitation et les termes qui l'entourent se sont inspirés largement des qualificatifs humains, et d'un language propre à la discipline et au rafinement équestre.

"Le cheval a donc (contrairement au chien, qui est pourtant le meilleur ami de l'homme)  un dos, des reins, des cuisses, un ventre, des bras, des avant-bras, des coudes, des genoux, des pieds et surtout, zones cardinales du travail équestre, [...] des épaules et des hanches."

Seul le néophyte donne des pattes au cheval, "qui a pourtant mérité, si gracieuses, souples et fragiles, des jambes." Le cavalier a fini ainsi, avec les termes d'avant-main et d'arrière-main, "par réaliser son rêve: s'oublier, s'augmenter, se confondre avec le seul animal qui pût le prolonger."

Mettant ainsi des mots semblables, l'homme met le cheval à son niveau, il en fait son égal. De nombreux mots sont mis ainsi au répertoire du monde équestre, "ainsi on ne dit pas que le cheval marche de côté mais qu'il va l'amble, ce qui est un joli mot pour un vilain défaut; qu'il s'entable, ce qui est une erreur; ou qu'il execute des appuyers, ce qui devient une qualité doublée d'un succès.

Il ne saute psa les barres mais, aérien, il les passe. Il ne contourne pas un obstacle mais [...] il dérobe. Si on tire trop brutalement sur les rènes, [...] on égare la bouche du cheval. Si on abuse de ses forces, si l'on exige trop de lui, on l'estrapasse. En revanche, tel un tableau de maître, on l'encadre en le tenant droit dans les aides. Quand, pour résister aux gèstes brutaux de son cavalier, l'animal secoue la tête, on dit qu'il bat la main ou, plus religieux, qu'il encense; d'une tête levée qui refuse de se placer, qu'elle porte au vent. Quand, en revanche [...] il veut bien offrir au cavalier toute sa puissance enfin rassemblée, on peut affirmer [...] qu'il se livre, et applaudir. C'est une belle langue que celle de l'équitation."

Sans reprendre les mots de Jérôme Garcin, les termes équestres ne tombent pas, hormis pour l'harnachement (bride, mord Verdun, Pelham...), dans un language spécifique et incompréhensible pour les  néophytes. La langue équestre reste compréhensible. "Elle parvient à traduire l'harmonie silencieuse d'un animal et d'un homme que, en apparence, tout opposait et que tout réunit."

MaX

Mardi 5 septembre 2006 à 16:53

[ça m'énerve parce qu'en pleine journée j'ai plein d'idées rien que pour vous, et une fois devant mon écran bein je les oublies ^^' I'm damned ^^]

INFO RACE

L'islandais

Rustique et docile

Les islandais ont un avantage, ils vivent sur une île. Depuis plus de 1000ans, ils peuvent ainsi protèger l'une des races les plus appréciées en Europe et dans le monde. Car l'Islandais est élevé en race pure depuis plus de 1000 ans, l'importation de chevaux étant même fermée depuis l'an 930. Cette race unique est issue du croisement de chevaux d'origines nordiques, apparentés au Fjörd et au Tarpan. On suppose aussi que des poneys des îles britaniques, ramenés en guise de butin par les Vikings, ont servit à son élaboration. Doté d'une charpente solide sans être lourde, sa tête, sèche et expressive apparaît sous des crins abondants. L'Islandais a longtemps été exporté pour sa rusticité et sa docilité à travailler dans les mines. Plus tard, à l'orée du 20ème siècle, il est entré en compétition dans les concours et les centres équestres pour le loisir. On dénombre aujourd'hui environ 6000 chevaux de la race en France. L'Islandais étonnera les cavaliers par le contraste entre son extrème gentillesse et l'énergie qu'il déploie sous la selle.

Source: Cavalière n°1

Lundi 4 septembre 2006 à 21:43

Un article écrit dans l'creux de la minute pour vous dire une chose:

Je stress à mort!

Et oui, comme Raphou qui stress pour la dernière ligne droite au bahut, moi je stress pour la dernière ligne droite au club! Cette année je suis en galop 7 ! ! ! C'est horrible, de savoir que déjà, déjà on s'approche de l'heure où les cours ne serront plus là, à heures fixes et si délicieusement savourées chaque semaine. Une fois le cap passé, ça serra compétitions officielles, travail seule, un changement d'aspect tellement horrible qu'elle m'en retourne les entrailles... Est-ce que Lolotte et moi continurons à monter vraiment ensemble après ça? Bien sur, mais ça serra plus pareil. Les cours avec mon cher Pierre David passeront surement au second plan.

Au bout de cette année, fini cette délicieuse habitude que j'ai prise depuis plus de 10 ans.

Je ne l'ai jamais dit, mais ces visites au centre équestre, pendant les vacances, je ne les ai pas appréciées à leur juste valeur. Je les apprécie que lorsque je lis la version de Lolotte, mais moi, je préfère mon habituel climat de cours avec nos chevaux et notre prof. Même en concours 'à la maison' je suis toute chamboulée par l'ombre des arbres sur la route qui est différente le matin qu'à mon habituelle après-midi...

Je suis anxiense à un tel point que j'en oublie qu'à la fin de cette année il y a aussi le bac français, mais pour moi ça passe en second plan pour l'instant...

Objectif actuel: Galop 6 en Octobre. Pas de problème je gère tout et connais ma théorie sur le bout des doigts :)

MaX

Lundi 4 septembre 2006 à 15:27

Oui!
 
Je sais... Je suis impardonnable: voilà plus d'une semaine que je vous laisse dans l'attente insoutenable d'un article prochain... Seul'ment... C'pô d'ma fôt' heu!

Explications:
Premièrement, j'ai actuellement un évenement personnel qui m'empèche de venir sur internet pendant un certain temps (on va appeller ça un "dédoublement familial" ^^')
Deuxièmement, un problème de Freebox est survenu, donc plus internet pendant plusieurs jours, et maintenant que c'est revenu, mon frère m'a piqué sans aucun scrupule mon cable réseau, résuisant mon ordinateur à un silence internetien difficile à gèrer (je suis en directe de l'ordinateur de mon frère là ^^).

Donc voilà, comme vous l'avez compris, ces prochaines semaines je ne me ferrais pas très présente, mais ne vous inquiètez pas, je tâcherais de vous honorer de mes articles au moins une fois par semaine :) C'est embètant d'ailleurs parce que j'ai plein de choses à vous dire :P Et quelques coms auquels je dois répondre aussi :)

S'cusez moi, bande de cow :D


MaX

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