Jeudi 6 juillet 2006 à 18:40

Petite curiosité cowboyenne, je me demande ce que sont devenus toutes ces cavalières dont j'avais fait le regroupement il y a six mois... Pour voir l'article, cliquez sur ce lien.

Procédons par élimination.

 Je vais citer en premier lieu les blogs qui n'existent plus (ou qui ont été relancés sous un autre nom sans que je sache); ou qui ne sont plus en fonctionnement depuis longtemps (+ de 2 mois):

brezhonneg: elle ne serra pas resté très longtemps, se serra converti un moment en un blog qui ne parle pas des chevaux mais à l'heure actuelle le blog n'est plus. Pour lui parler elle vient souvent sur le blog de Raphou.

bibi2813: ce blog n'est plus en activité depuis janvier...

starciel: ce blog n'est plus en activité depuis février...

Hidalgo: ce blog n'est plus en activité depuis décembre 2005...

Titdemon: n'existe plus sous le nom de la première propriétaire, maintenant sur le blog de elSewhere.

CoCoNutS: devenu blue-confession.

babytaurus: plus posté depuis avril...

Germaine: n'existe plus...

By.pepsy: est devenu pepsy (à confirmer)

Lerayondesoleil: pas de nouvelles, n'existe plus...

elChe: je sais que ce blog à changé de nom mais je ne sais plus lequel c'est... Donc si vous tombez dessus, alors vous serrez bien tombé ^^ (le premier blog était très bien).

mOnpOudlard: pas posté depuis Mars, pourtant MissMistral reste présente, irréguilièrement mais présente tout de même...

Ensuite, les blogs toujours en fontionnement:

Italiaforever [& Londonday] (même auteur)

Punkeuzz (même si y'a eu des hauts et des bas)

Anna

aLeXophiE

soft-snow

nothing (ce n'est plus ce psedo mais je me souviens plus du nom, donc si tu passe par la Val préviens moi ;)

degraal

pzych0.-.ch0z  (qui était auparavent  00-fraiz0o-00 et auprès dequi je m'escuse pour l'oubli ^^')

Voilà, six mois plus tard, douze blog sont morts, quatre ont été réorientés, et seulement six ont "survécu" sans parler du mien...

C'est un peu dcevant bien sûr, mais je reste persuadée qu'il y a toujours de nouveaux blogs cavaliers sur cow, et que je finirais bien par les dénicher =) Ou qu'ils se manifesterons (n'hésitez pas à laisser un com ou un tag)

Mise à part, j'ai toujours ma fidèle Raphou avec Italiaforever et Londonday, mais actuellemnt elle est en Angelterre pour les vacances...

Et aussi Maud, Maud96! La seule non-cavalière qui se soit autant interessée à mon blog! Et c'est pour son ouverture d'esprit, sa lucidité, ses comparaisons et sa curiosité que je l'apprécie autant!

Merci à toutes les deux ;)

Et aux autres évidement =)

MaX

Jeudi 29 juin 2006 à 15:31

Le soleil couchant m'ébloui dans la tièdeur de cette soirée. Je vais calmement, accompagné du plus agréable compagnon qu'il soit: Sirus. D'un noir d'ébène aux reflets rougeoyant dans les doux rayons solaires, une simple étoile en guise de couronne, et ce voyageur devenait le roi de ces forêts, souverain de nos collines et maître incontesté de toute campagne environnante.
Nous passons nos journées, comme deux vieux rôdeurs, à parcourir le pays au fil de nos pas. Fier du cheval qu'il est, le cadre du sud semble être la patrie de Sirus, un domaine qui nous offre guarrigues, camargue et plages à perte e vue.
Le soleil est à présent couché. Nous sommes arrivés aux écuries. Je retire la selle du dos fumant de mon prince noir, laissant derrière moi une odeur délicieuse de vieu cuire. Après avoir carressé amoureusement la pièce magique qui s'avère être le lien irremplaçable entre moi et mon cheval, je retourne au box pour soulager mon compagnon de la fatgue de la journée. Un pansage méticuleux est comme un dialogue corporel entre l'homme et le cheval. Paroles tactilles qui soulagent les deux protagonistes: le premier de ses humeurs, le second de ses sueurs. L'intimité du box en ajoute au caractère sensuel de ces carresses.
Lendemain. Le soleil de lève juste et je suis déjà au chevet de Sirus. Petit déjeuner granuleux en perspactive, tous les chevaux sont exités. C'est à une guerre sans affrontements que j'assiste, seul témoin, lorsque chaque pensionnaire se gonfle, souffle et mord le vide pour une seule raison: à celui qui serra servit en premier. Chaque repas, toujours servit à heure fixe, dévoile un flot d'hostilités insoupçonnées entre les chevaux, d'ordinaire si calmes.
Plus tard dans la matinée je selle Sirus pour partir, à nouveau, dans une nouvelle aventure. Lorsqu'on part à cheval, tout se transforme vite en une merveilleuse exploration d'endroits surprenants, remplits de dangers illusoirs et de surprises innatendues provoquant des dangers fictifs contre chaque ombre inopportune. Un cheval est un incontestable rêveur, voyant l'aventure à chaque chemin, le danger derrière chaque buisson.
J'aime à penser que mon bon vieu compagon eut pu faire, à la place de voyageur, un champion des arènes, combattant son énnemi torrin. Ou alors devenir la coqueluche de ces jeunes filles, friandes des centres équestres. Il aurait aussi put se plaire en l'une des disciplines olympiques, brillant sur les rectangles de dressage, vollant par dessus les barres, et surpassant tous ses adversaires dans un jeu compétitif hors du commun où il aurait mené à la victoire son heureux cavalier. Peut-être eût-il aimé aussi l'attelage, le western, le hors-ball, le polo, les courses ou toute autre discipline...
Parfois aussi je l'imagine vivant d'un autre temps: il aurait sûrement fait un vaillant cheval de guerre au Moyen-âge, partant sur les champs de bataille, naseaux dilatés et mâchant le mors... Ou bien tirant les chars romains dans la Rome antique, vétu de mille apparâts dorés. Il aurait été monture de roi à la Renaissance, ou alors tirerait les fiacres noirs dans les rues de Paris au IXXème siècle... Ou encore il aurait pût finir, comme bon nombre de chevaux avant la Révolution Industrielle, à travailler dans les champs, cheval de labours, soigné par ses maîtres mais meurtri par ses harnais...
J'arrive au détour d'un chemin. Deux solution s'offrent à moi. Soit je continu sur la route, soit je m'enfonce vers l'inconnu sentier qui s'offre à moi. Je laisse Sirus aller, comme bon lui semble, et choisir notre destination. Nous voilà qui quittons la route, nous engoufrant au travers d'une pinède aux arbres résineux. Sirus est éxité, je le laisse partir, au galop, frollant les écorces, comme un éclair sombre. Je suis aux anges, le sourir aux lèvres et dans le coeur, lègé.
Mais quelque chose détale entre les jambes de Sirus, je ne vois pas ce que c'est, je n'en ai pas le temps. Mon cheval fait un prodigieux écart, stoppant brusquement sa folle course. Ce subit arrèt le déséquilibre, il se renverse, moi sur son dos. Je suis projeté contre un arbre, j'ai juste le temps de voir un lapin partir en bonds terrorisés, et Sirus qui se lève, et se précipite au galop loin de ce lieu de terreur, l'effroit rendant ses yeux fous, les étriers lui battant les flancs. Tout tourne. Mais
je repense à ce galop merveilleux que nous venions de partager, et un sourire s'inscrit sur mes lèvre, juste avant que tout ne sombre... C'est le noir, comme Sirus...

MaX

Samedi 24 juin 2006 à 15:47

Anna, jeune fille ayant un blog du même nom, organise un concours de textes. cliquez







"Le cheval à rendu à l'homme des services. Des services les plus importants qui soit. L'homme et le cheval, c'est l'une des plus belles histoires jamais contées. C'est pourquoi, j'organise un concours sur mon blog. Ce concours sera un concours de textes. La plus belle histoire sera diffusé un peu partout sur internet (blogs, sites...) et le gagnant aura une pub sur plusieurs blogs. Le theme est ce que vous voulez, bien sur il faut qu'il traite sur le cheval, 7 participants au moins. Envoyez moi un message pour votre inscription."




---> Inscription <---




Je me suis déjà inscrite, maintenant j'attend avec impatience que vous vous inscriviez, et de lire vos textes aussi! Maintenant je vous laisse pour, justement, commencer à esquisser un plan pour ma nouvelle...


MaX

Samedi 17 juin 2006 à 11:38

La question du lecteur


La semaine dernière, j'éxpliquais la méthode que je venais de découvrir pour placer un cheval. Je vous rapporte les paroles d'Ornella, ma "bienfaitrice" ^^: "Mets-toi sur un cercle. Tu dois agir avec la rène interieure sur la commissure des lèvres. Et en même temps être assez ferme dans tes doigts, afin que, dès qu'elle cède, tu lui laches un peu de mou pour lui montrer que c'est ce que tu attends d'elle."


Alors, suite à ces paroles, Raphou m'a posé une question: "comment agir sur la commissure des lèvres? En faisant une rêne d'ouverture?".


J'explique la méthode. Ce n'est pas avec une rène d'ouverture que l'on agit sur la commissure (pour ceux qui ne savent pas, la commissure est l'entroit de la bouche du cheval qui "rejoint" la lèvre superieur à la lèvre inferieur). Depuis le début de ce blog je vous explique une méthode de mise en place consistant à lever légèrement la main interieure et de garder fixe la main exterieure (et avoir de l'impulsion etc mais là on parle que des mains). En faite, ça vient de là! Le fait de relever légèrement la main permet une action plus en "hauteur" sur la bouche du cheval, d'agire non pas sur la lèvre inferieure mais sur la commissure. Et puis quand vous tentez une mise en main, vous pouvez toujours regarder et tester les positions de main pour voir qu'est-ce qui correspond.


Il ne faut pas forcément écarter la main, il suffit juste au début de la relever légèrement afin que le contacte moelleux se fasse donc sur la commissure. De l'autre côté, la main exterieure reste à sa place, tendue et fixe, légèrement "dure" afin de se relacher au moment où le cheval cède.


Voilà, j'éspère que mon explication est satisfaisante, pour toute remarque, n'hésitez pas à me reposer quelques questions à ce sujet. Encore une fois, toutes les questions sont les bienvenues ;)


MaX

Vendredi 28 avril 2006 à 11:08

Beuh heu heuh ! ! ! ! M'aurait-on oubliée? Suis-je recluse dans un coin profond de c0w pour seule amie mon errance incapable de rentrer en certains lieux? Peut-etre cette limitation visitatif a pour but d'éviter les "mauvaises rencontres" mais et les personnes fidèles, qui aiment tant le blog que le bloggeur doivent elles être exlues également? Soit parce qu'on ne désire pas sa présence (^^' mais j'éspère que c'est pas ça hein Manu?!) soit parce qu'on a tout simplement "oublié" de lui informer LE moyen de faire partie des "privilégié(e)s"...


Bref, Manu, si tu passes par là, j'éspère que tu m'oublieras pas et que tu f'rras un p'tit geste pour une de tes fideles lectrices/commentatrice... =) T'oublie pas hein? Dis, hein? Tu m'aimes dis, hein? ^^ Allez j'compte sur toi =)


Et puis c'est meme pas la peine de mettre un lien vers le blogounet de ce m'sieur parce que vous le connaissez tous, oui c'est le bien nommé Adosolent, qui viens de mettre un mot de passe pour pouvoir aller sur son blog...


MANU M'OUBLIES PAS ! ! ! !


MaX

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